Après une bonne nuit de sommeil, nous nous préparons, ouvrons les rideaux et découvrons une vue inhabituelle chez nous :
Après notre toilette, nous sortons prendre notre petit déjeuner.
Etant en avance, nous visitons les alentours.
Notre chalet, qui accueille 8 chambres (4 au rez de chaussée, chambres plus grandes "familiale" l'étage suivant et encore 2 au dernier étage) :
L'enclos des cerfs domestiques :
La première activité du matin, glissades. Nous escaladons le Mont Chauve, en raison des chutes de neige de la veille et la nuit, nous devons ouvrir la piste ce qui rend le trajet un peu plus sportif d'autant que nous portons :
- de grandes bouées (format chambre à air de camion)
- et des tapis individuels qui vont nous servir à glisser.
Admirez la vue, la veille on voyait à 10 mètres maximum à cause de la neige.
Nous avons fait des glissades individuelles avec les bouées, formé une chaines et là ça allait bien plus vite.
Le tapis pour glisser donne plus de sensations et permet un meilleur contrôle de la trajectoire, mais à la moindre petite bosse du sol, on reçoit de la neige dans la figure.
Autant pour la bouée, on s'assoit dessus, pour le tapis, on est allongé la tête en avant.
Mme Renarde, elle, n'a fait qu'une seule descente, ça allait trop vite pour elle.
Après l'effort le réconfort, nous avons pu passer à table.
Au menu, pâté chinois : une sorte de hachis parmentier avec des grains de maïs, le nom vient du fait que lors des grands travaux pour le chemin de fer au États-Unis et au Canada, il y avait un grand nombre d'ouvrier chinois et que ce plat était leur ordinaire.
En bon ours mal léché, j'ai passé mon plat au crible afin de me débarrasser d'un maximum des grains de maïs.
Par contre, je n'ai pas laissé une miette de mon dessert, un gâteau avec du sirop d'érable.
Après notre toilette, nous sortons prendre notre petit déjeuner.
Devinez quelle est l'assiette de M. Ours et celle de Mme Renarde :-)
Etant en avance, nous visitons les alentours.
Notre chalet, qui accueille 8 chambres (4 au rez de chaussée, chambres plus grandes "familiale" l'étage suivant et encore 2 au dernier étage) :
L'enclos des cerfs domestiques :
Le chenil (cet endroit là nous en reparlerons dans un autre article) :
- de grandes bouées (format chambre à air de camion)
- et des tapis individuels qui vont nous servir à glisser.
Admirez la vue, la veille on voyait à 10 mètres maximum à cause de la neige.
Nous avons fait des glissades individuelles avec les bouées, formé une chaines et là ça allait bien plus vite.
Le tapis pour glisser donne plus de sensations et permet un meilleur contrôle de la trajectoire, mais à la moindre petite bosse du sol, on reçoit de la neige dans la figure.
Autant pour la bouée, on s'assoit dessus, pour le tapis, on est allongé la tête en avant.
Mme Renarde, elle, n'a fait qu'une seule descente, ça allait trop vite pour elle.
Puis les glissades ont laissées place à l'activité suivante : de hockey sur neige, mais nous n'avons pas pris de photo. C'était une bonne occasion de se défouler et j'ai constaté que les femmes jouaient plus physique que les hommes comme quoi...
Après l'effort le réconfort, nous avons pu passer à table.
Au menu, pâté chinois : une sorte de hachis parmentier avec des grains de maïs, le nom vient du fait que lors des grands travaux pour le chemin de fer au États-Unis et au Canada, il y avait un grand nombre d'ouvrier chinois et que ce plat était leur ordinaire.
En bon ours mal léché, j'ai passé mon plat au crible afin de me débarrasser d'un maximum des grains de maïs.
Par contre, je n'ai pas laissé une miette de mon dessert, un gâteau avec du sirop d'érable.
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