Notre voyage de noce : J6 La journée de moto neige.

Ce matin encore, il fait beau et froid.



Nous nous équipons de nos pantalons et anorak de moto ; vous pourrez voir Mme Renarde ci-dessous pour constater à quel point ces tenues sont seyantes. En même temps -27°C ce matin plus un ressenti de température qui baisse de 1°C tous les 10km/h sur des motos qui montent à 80 km ; ça nous fait du -35 donc autant être bien équipé.


Là c'est Mme Renarde qui prends la parole : "Je paniquais depuis le début de faire cette activité. J'ai quand même voulu me suivre. Mais plus le temps passait (explication dans le bar des règles de sécurité, trajet au pow wow pour nous donner les casques puis notre moto) plus les larmes me montaient aux yeux. Le pire a été quand le moniteur a baissé la visière pour nous dire de démarrer. Nous avons pris la route direction le chenil mais je n'allais pas bien. Le moniteur a donc proposé d'arrêter l'activité et de me reconduire à notre chalet.

Comme la journée est divisée en 2 : entrainement le matin et randonnée l'après-midi, je décide que je retrouverai Mme Renarde pour le repas et ne ferais pas le repas avec le groupe dans un lieu typique.

Je suis le groupe jusqu'au lac gelé et là nous nous entraînons à conduire les motoneige. Le lac fait approximativement 7 km de long pour 4 de coté et nous sommes une dizaine dessus ; autant vous dire qu'on peut pousser les motos au maximum sans prendre de risque.

Le lac :
 



Tous en ligne pour écouter les dernières recommandations :

 Après quelques allé-retour à pousser le moteur, je m’entraîne à tourner sans trop ralentir. A un moment je ne comprends pas, j'ai beau tourner le guidon, la motoneige persiste à aller en ligne droite, surpris je jette un coup d'oeil au compteur, bien que j'ai relâché la poignée des gaz, j'étais encore à 60 km/h.

Le moniteur nous rassemble et un membre du groupe lui dit que le rayon de braquage est très grand : ni une ni deux le moniteur nous fait la démonstration du contraire et commence à faire des cercles de plus en plus court, si court que pour cela le patin coté extérieur décolle et le moniteur fini par arrêter avant de renverser la motoneige.

Comme il annonce le départ pour la randonnée je lui rappelle que je préfère rejoindre ma femme au chalet donc appelle le régisseur (on voyait la photo de sa maison sur les photo du lac un peu plus haut).
Le régisseur arrive avec son pick-up et plutôt que de sortir les rails pour charger la motoneige, le moniteur décide de faire garer le pic-up contre une congère et de la grimper avec la motoneige ; sauf que la motoneige reste plantée là et on doit aller chercher le groupe pour à 5 remettre la motoneige sur le pick-up.

Le régisseur me ramène jusqu'au chalet et à peine arrivé, il est rappelé en raison d'une panne : la chaîne d'une des motoneige du groupe vient de se briser et il faut qu'il ramène la moto que je conduisais.

Je me change et rejoins Mme Renarde dans le bâtiment commun.

Photo de la bouteille de crème d'érable dont je raffole depuis le début du séjour.

Des livres dans le bibliothèque ; le titre m'intrigue, je les achèterai pour les lire un de ses jours.

Du coup s'est raté pour le repas type du Sargenay sur le circuit de motoneige, nous déjeunons de plats déjà goûtés et d'un dessert dont j'ai oublié le nom (et le goût).

L'après midi est pour moi l'occasion de retournée au spa et de marcher autour de la pourvoirie.






 Puis nous allons dans le chalet commun commun pour l'activité du soir avant le dîner : le petit quiz pour savoir si nous avions bien retenu les informations qui nous avaient été racontées tout au long du séjour avec comme récompense, une bouteille.

Ce soir là Mme Renarde m'a accompagnée pendant que je buvais mon verre de sortilège avec un cocktail à base de bleuets (sorte de variété locale de la myrtille mais avec des fruits plus gros).

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